BANDS

                      

« Un punch à vous dévisser la tête, un enthousiasme débordant, un swing dévastateur et un ancrage puissant dans la tradition ». Michel Delorme (Magazine Culture Jazz, France 2013) 




MOHAMED-ALI KAMMOUN / NORTH AFRICAN JAZZ SOUND



Hichem Badrani (nây)                 
Hamdi Makhlouf (‘ûd & vocal) 
Lotfi Soua (percussions traditionnelles)
Mohamed-Ali Kammoun (composition, piano & vocal)    

Feat. Karim Gherbi (contrebasse), Abdes Gherbi (batterie)
                            
Présentation générale


Mohamed-Ali Kammoun a essayé plusieurs formules pour faire sonner sa musique, souvent avec des mélanges entre musiques arabes improvisées, jazz et autres univers musicaux. En Quartet, Quintet, Sextet, ou Duo, il présente aujourd'hui des compositions originales et arrangements de Standards d'Afrique du Nord, en compagnie de grands maîtres tunisiens à l'instar des deux joueurs de nây Hichem Badrani et Nabil Abdmouleh. L'esthétique de ces ensembles se distingue par un ancrage traditionnel modal, une fraicheur saisissante et une conception moderne du rythme, du contrepoint et de l'harmonie. Enchainant plusieurs concerts en 2013 et 2014, avec une première remarquable au prestigieux Festival international « Jazz à Carthage », cette formation honore ensuite des scènes parmi les plus réputées du monde arabe :
  • Mohamed-Ali Kammoun Orchestra (Festival International des Arts de Jerash 2014, Festival International de Hammamet 2014) ;
  • Mohamed-Ali Kammoun Orchestra. Feat. L’Ensemble Orchestral de Tunisie (Margoum, Festival International de Carthage, 2014) ;
  • Mohamed-Ali Kammoun Orchestra. Feat. L’Orchestre National de Tunisie (Tba’ Wehkâya, Théâtre Municipal de Tunis, 2014). 
Formé initialement d'un Quintet de cinq musiciens : percussionniste (târ oriental, bendir), pianiste, bassiste,  joueurs de ‘ûd et de nây (flûte trad.), les fers de lance du projet sont deux extraordinaires solistes : au nây Hichem Badrani, un maître d’une folie et puissance « coltranienne », et au ‘ûd Hamdi Makhlouf, un fin luthiste au jeu élégant, atypique et à la voix débordante de créativité. Au niveau de la section rythmique, on distingue des percussions tunisiennes anciennes très dynamiques et solides, celles de Lotfi Soua, colorées par un piano quasiment « hors la loi », celui du leader du projet. Deux nouveaux musiciens franco-algériens de la scène jazz parisienne viennent renforcer le projet : Karim Gherbi et Abdes Gherbi (vainqueurs des trophées du Sunside à paris en 2005). Tout évoque donc une étrange hybridité dans ce jazz sextet maghrébin, pourtant cohérent, chaleureux et ingénieux.
Venant de célébrer des années d'amitié musicale, 
Mohamed-Ali Kammoun sextet sortira en 2015 à Tunis son premier album Tunisology, chez le prestigieux label Ennejma Ezzahra (Centre des Musiques Arabes et Méditerranéennes). Une autre sortie de l'album devrait être célébrée à Paris, voire ailleurs, en collaboration avec un label ou distributeur européen. 


Presse du spectacle 


Par Michel Delorme, critique de jazz de France, Culture Jazz, avril 2013
« Le concert débuta par la folie d'un épisode ‘’free jazz’’ mais le reste de la soirée ne conserva du jazz que la pulsation rythmique, entretenue par la basse électrique (seul instrument de la musique occidentale moderne du groupe) et la percussion. Parlons-en de cette percussion, elle fut tout simplement miraculeuse et Lotfi Soua nous gratifia d'un solo extraordinaire dès le premier morceau. Une frappe d'acier, un tempo du diable et une richesse dans la variété des figures. Je n'avais rien entendu de tel depuis Armando Peraza avec Santana, dans un style évidemment différent. Le chant Soufi nous émerveilla et un moment j'ai pensé que Milton Nascimento n'aurait pas désavoué les modulations chaudes et chatoyantes de Hamdi Makhlouf, par ailleurs auteur d'un solo de luth ébouriffant, avec ces inflexions chères au sitar de l'Inde. Enfin, les notes acidulées du ‘’nay’’ (flute arabe) de Hichem Badrani vinrent porter l'ensemble à un haut degré de réjouissance. Et le piano fou du leader emmena tout ce beau monde vers une constante ébullition. Un concert qui comptera dans la galaxie des plus enthousiasmantes prestations ».
 http://www.culturejazz.fr/spip.php?article2168 

Par Khaled Tebourbi, critique de musique arabe, La Presse, 30 avril 2013, Tunisie
« Au rendez-vous, samedi à Ennejma Ezzahra, de l’OJQ de Mohamed Ali Kammoun. On insiste sur ce musicien et sur son groupe pour une bonne raison déjà : il s’agit d’artistes hors du commun. Il y a aussi qu’on est, chaque fois, séduit par la qualité des concerts proposés par Mohamed Ali Kammoun et ses musiciens. ‘’Tunisologie’’, présenté en août 2011 fut une révélation. Un bonheur de créations et de chants, où les sons et les rythmes ‘’jazzy’’ se mêlaient, en une harmonie parfaite, aux phrasés typiques tunisiens. A la fois ‘’dépaysement’’ et authenticité. On avait, alors, vu se profiler une voie d’avenir pour la musique et la chanson tunisiennes (…).
Sans l’apport des voix, avec, en plus, un ensemble réduit, ‘’hybride’’, piano, luth irakien, ‘’métallique’’, ‘’nay’’ et percussions traditionnelles, le résultat n’était pas acquis d’avance. Erreur : tout ce travail était pensé, cousu de fil blanc. La prestation des solistes ensuite. Extraordinaire de brio, d’intelligence. Ne se démarquant jamais du concept, surtout. Il fallait rendre ‘’à doses justes’’ une synthèse subtile de musiques de tous horizons, marier des expressions d’origines diverses, parfois opposées. Restituer une sonorité dans l’unité. Hichem Badrani au ‘’nay’’ (époustouflants passages de tonalités), Hamdi Makhlouf au luth (virevoltant dans les techniques du oûd arbi), Helmi Neifar à la basse et Lotfi Soua aux percussions n’y ont à aucun moment failli. Des morceaux de bravoure vraiment, ajoutés à la maîtrise d’un pianiste, Mohamed Ali Kammoun, qui a alterné même, jeu symétrique à deux mains, dans le pur style de ‘’l’orgnou’’ (technique claviéristique tunisienne, fin XIXe, début XXe siècle), et harmoniques classiques ».
Cf. http://www.lapresse.tn/30042013/66472/arret-sur-musique.html

Par Anis B., Spotmag, avril 2013, web
« Composé de Lotfi Soua aux percussions, Helmi Neifar à la basse, du luthiste et vocaliste Hamdi Makhlouf  et Hichem Badrani au nay, le quintet attaque son show avec ‘’Blues turan’’ une composition du pianiste Mohammed Ali kammoun. Avec l’Oriental Jazz Quintet, on retrouve une approche musicale contrastée, épicée, tout en nuance et résolument ethnique. Les soudaines scansions rythmiques assénées par le percussionniste débouchent sur des accords apaisés du pianiste ou les vocalises du luthiste. Puis souhaitant rendre son africanité à la Tunisie, Kammoun entonne l’hymne national sur des notes afros. Les sons se suivent et ne se ressemblent pas. L’apport fin et riche en sonorité du quintet impose un univers sonore très typé, assez métissé, très personnel et intimiste au final ». B. Anis
Cf.http://www.spotmag.info/culture/jazz-a-carthage-wajdi-cherif-invite-new-york-dali-kammoun-impose-la-tunisie/



Photos du Sextet 2014/2015 







VIDEO 







Coulisses (Quintet 2013)






Besoins matériels nécessaires à la réalisation du spectacle




                                       Disposition scénique (configuration serrée)






Programme 

1 - Blues tûrân
2 - Fly
3 - Take it happy
4 - Tba’ wehkeya
5 - Vertige
6 - Granada
7 - Valse avec moi
8 - Way to Africa


Durée
75 / 90 minutes ...

ANNEXE "BANDS: / DUO PROJECT (Piano & Nây)



  




Contact 

Management (Tunis)  
Mlle Neila NOURI / Email : neyla.nouri@gmail.com / Téléphone : +216 22 721 735 
Direction artistique (Paris)  
M. Mohamed-Ali KAMMOUN Email : ma.kammoun@gmail.com / Téléphone : +33 7 58 69 45 69 
Blog de l'artiste : kammoun.tn
Page Facebook de l'artiste : https://www.facebook.com/ma.kammoun
 (+10 000 membres)  
Hashtag : #mohamed_ali_kammoun


Translate

Contact

Nom

E-mail *

Message *